AMSTERDAM / PAYS-BAS
Amsterdam. Grâce aux analyses menées par le synchrotron européen de Grenoble, une équipe scientifique internationale sous la conduite du Rijksmuseum a pu déterminer ce qui permettait à Rembrandt d’obtenir son effet d’empâtement. Le maître hollandais utilisait – délibérément – la plumbonacrite, une substance extrêmement rare dans la peinture de l’époque.
Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°515 du 18 janvier 2019, avec le titre suivant : Le secret de l’empâtement de Rembrandt percé à jour