PARIS - Les 27 et 28 mai, lors d’une réunion technique qui s’est tenue à l’Unesco, un collège d’experts s’est penché sur le sort du patrimoine syrien, victime collatérale du conflit civil qui touche le pays depuis trois ans.
Le sous-directeur général de l’Unesco, Francesco Bandarin, a qualifié la situation de « très grave ». Parmi les mesures prises figure la création d’un observatoire financé sur trois ans par l’Europe à hauteur de 2,5 millions d’euros dont la mission est d’établir un cadre de priorité aux activités de reconstruction. Francesco Bandarin a insisté sur l’importance de la communication pour réussir à démilitariser les sites, prévenir le trafic illicite et préserver le patrimoine immatériel. La présentation d’une nouvelle résolution au Conseil de sécurité pour la protection du patrimoine est envisagée.
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Le patrimoine syrien dans la mire de l’Unesco
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°415 du 6 juin 2014, avec le titre suivant : Le patrimoine syrien dans la mire de l’Unesco