ROME - Le ministre pour les Biens et les activités culturelles italien, Giuliano Urbani, a coupé court à une amnistie en faveur des personnes possédant illégalement des œuvres d’art. Le texte incriminé, un amendement dans la loi de finances 2005 déposé par deux députés de Forza Italia, le parti du chef du gouvernement Silvio Berlusconi, proposait aux citoyens possédant illégalement des vestiges archéologiques de se mettre en règle avec la loi en payant une taxe de 5 % sur leur valeur. Ceux-ci devenaient alors vraiment propriétaires de l’objet et pouvaient le vendre. La mesure aurait rapporté quelque 500 millions d’euros aux caisses de l’État, selon ses auteurs.
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Le patrimoine italien en ligne de mire
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°203 du 19 novembre 2004, avec le titre suivant : Le patrimoine italien en ligne de mire