Le ton, comme la voix, est des plus énergiques. Depuis 1994, Dolores Beistegui de Robles, ancienne élève de l’École du Louvre, préside avec succès aux destinées du Collegio de San Ildefonso, haut lieu d’expositions temporaires situé au cœur de Mexico. Cette institution historique du XVIe siècle, décorée d’époustouflantes fresques de José Clemente Orozco (1922-1926), présente ce mois-ci « La collection personnelle de Sigmund Freud ». La fille de Juan de Beistegui (on se souvient de la vente de son château de Groussay en juin dernier par l’étude Poulain-Le Fur), Mexicaine par son mariage en 1983, favorise la collaboration artistique entre les deux pays comme les expositions avec le Musée des Arts décoratifs de Paris ou le Louvre – son père est d’ailleurs membre de la Société des Amis. Et lorsqu’elle quitte les murs de San Ildefonso, l’ancienne directrice de cabinet du ministre mexicain de la Culture, Rafael Tovar, poursuit sa participation à la difficile restauration du centre historique de la mégapole de Mexico.
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Le Mexique de Dolores Beistegui de Robles
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°515 du 1 avril 2000, avec le titre suivant : Le Mexique de Dolores Beistegui de Robles