« Artcurial, un nouvel espace pour une nouvelle dynamique » affirme Laurence Custot, 32 ans, qui dirige depuis octobre 1998 les six cents mètres carrés du 61 avenue Montaigne. Un nom et des stocks entièrement rachetés – à l’exception des peintures – à l’Oréal par son ami de l’École alsacienne, Nicolas Orlowski. Centre d’art contemporain privé, Artcurial vend des estampes, des meubles, des bijoux signés des plus grands noms comme les Lalanne ou Sonia Delaunay. Laurence Custot voudrait également publier davantage de livres à éditions limitées, développer le mobilier contemporain, poursuivre l’exposition-vente de sculptures monumentales. Il y a eu Arman à l’inauguration du nouvel espace Artcurial, voilà Lynn Chadwick et Jean-Pierre Raynaud. Une promotion d’artistes qu’elle a déjà exercé en 1988 dans le cadre de la galerie Marbeau, ou en faisant réaliser jusqu’à l’année dernière plusieurs services de tables pour sa société Office. Leurs noms : Ben, Arman ou feu César.
Artcurial, 61, avenue Montaigne, 75008 Paris, tél. 01 42 99 16 16.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Le deuxième souffle d’Artcurial
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°503 du 1 février 1999, avec le titre suivant : Le deuxième souffle d’Artcurial