Après avoir suscité des attentes élevées au moment de leur création, les deux antennes régionales du Centre Pompidou à Metz (Moselle) et du Louvre à Lens (Pas-de-Calais) essuient aujourd’hui de nombreuses critiques qui trouvent un point commun dans la baisse continue de leur fréquentation. La perte de recettes directes (billetterie) ou induites sur l’économie locale provoque des crispations chez les élus locaux, qui remettent en cause le financement de ces établissements et en questionnent le modèle. Crise de croissance ou crise structurelle, ces deux structures, fort différentes l’une de l’autre, restent des équipements culturels phares.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Le destin parallèle du Louvre-Lens et du Centre Pompidou-Metz
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°476 du 31 mars 2017, avec le titre suivant : Le destin parallèle du Louvre-Lens et du Centre Pompidou-Metz