RIYAD / ARABIE SAOUDITE
Paris. Le prince héritier d’Arabie saoudite, Mohammed ben Salmane, a signé lors de son séjour de trois jours à Paris un accord intergouvernemental pour le développement de la région d’Al-Ula, riche en vestiges archéologiques de la période nabatéenne.
Tout est à construire si « MBS » veut accueillir les 2,5 millions de visiteurs espérés dans ce lieu presque désertique situé à 200 km de la mer Rouge : infrastructures, hôtels, restaurants, musée, accès aux sites. La création d’une agence sur le modèle de celle qui a porté le Louvre-Abou Dhabi est envisagée, sous la présidence de Gérard Mestrallet, le patron d’Engie, déjà à la manœuvre. Le projet comporte un important volet de fouilles archéologiques. Le jeune prince héritier veut changer l’image de son pays et l’ouvrir aux touristes. On relèvera que ce site de culture préislamique est situé à trois heures de voiture seulement de Médine, la ville du prophète Mahomet.
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L’Arabie saoudite veut développer le site archéologique d’Al-Ula avec l’aide la France
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°499 du 13 avril 2018, avec le titre suivant : L’Arabie saoudite veut développer le site archéologique d’Al-Ula avec l’aide la France