Après les « Food Lab » culinaires de l’hiver dernier, les « Cultures physiques » s’imposaient cet automne à la Fondation Cartier. Jusqu’au 12 octobre, il y en a pour tous les goûts (boxe, cyclisme, foot...), toutes les formes de création (chorégraphie, poésie, vidéo, installations sonores...) et toutes les nationalités (les jumeaux Turpin, l’Israélien Tzaig Uri, le collectif berlinois Chowcase Biat Le Mot...). « Le sport est souvent au centre de la création contemporaine, c’est pourquoi les artistes m’ont amenée à ce choix », explique Isabelle Godefroy (© Fabien Calcavecchia), responsable des Soirées Nomades depuis mai 1999. « Elles permettent la confusion des genres, le détournement des codes, l’idée du record ou l’identification. » Et pour le prochain cycle de soirées, l’assistante d’Hervé Chandes, ancienne productrice d’opéra contemporain et de théâtre musical au Théâtre des Amandiers à Nanterre, propose un thème tout aussi original : la paresse.
Fondation Cartier, 261, bd Raspail, 75014 Paris, tél. 01 42 18 56 50.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
La culture physique d’Isabelle Godefroy
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°520 du 1 octobre 2000, avec le titre suivant : La culture physique d’Isabelle Godefroy