« Je suis attiré par les découvertes et je suis joueur », avertit Jean-Michel Marchais. Réalisateur de documentaires pour la télévision, il a pendant 15 ans arpenté les galeries et écoles d’art. Et d’ouvrir le 16 septembre dernier dans une usine des années 30 de la banlieue parisienne un espace d’art contemporain rebaptisé Trafic. « J’avais du mal à me décider mais c’était le moment de passer à la vitesse supérieure ». Après la sculpture éphémère en papier d’Edouard Sauté présentée jusqu’au 17 février, il expose à partir du 24 février les premiers travaux de Stéphanie d’Amiens d’Hebecourt,
des photographies de son corps mis en situation dans des paysages industriels. « J’ai beaucoup d’autres projets, insiste cet ancien militant du cinéma des années 68. Je suis un fonceur mais aussi un laboureur qui sème pour récolter ».
Trafic, 40-44, rue Jules Van Zuppe, 94200 Ivry, tél. 01 49 59 99 12.
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Jean-Michel Marchais au cœur du trafic
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°523 du 1 février 2001, avec le titre suivant : Jean-Michel Marchais au cœur du trafic