Sous l'intitulé à double tranchant de "Poetic Justice", la Biennale d'Istanbul (jusqu'au 16 novembre, www.istfest.org) remet sur le devant de la scène la question du social et de l'engagement dans l'art, tout en se gardant de leur conférer l'exclusive. Pour ce faire, cette huitième édition, menée par Dan Cameron, conservateur au New Museum de New York, regroupe 85 artistes, dont Tania Bruguera, Monica Bonvicini, Ann Hamilton, Kendell Geers, Lucia Koch, Nikki S. Lee, Marepe, Julie Mehretu, Cildo Meireles, Aernout Mik, Bruno Peinado, Doris Salcedo, Fiona Tan ou encore Anri Sala. Outre un entrepôt de 8 000 m2, situé sur les bords du Bosphore, les expositions se dérouleront dans plusieurs lieux de la ville dont un ancien arsenal du XVe siècle converti en centre d'art, la citerne Yerebatan – construite en 532 pour stocker de l'eau –, et l’église Sainte-Sophie.
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Engagé dans le Bosphore
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°177 du 26 septembre 2003, avec le titre suivant : Engagé dans le Bosphore