À la fin de la chaîne de production du livre d’art, après le diffuseur et le distributeur, vient le libraire, maillon indispensable et conseil des lecteurs. Au Grand Palais, Sylviane Lagarde, assistée de Mathieu Nakonecznyj, connaît bien le problème du nombre important de titres qui sortent au moment d’une exposition.
À l’ouverture de « L’Égypte au temps des pyramides » (L’Œil n°505) flanquée de son catalogue (éd. RMN, 290 F dans le cadre du Mai du livre d’art), elle a réuni pas moins de 250 ouvrages rangés thématiquement. Elle propose, entre autres, un rayon sur la spiritualité et un autre consacré à la littérature égyptienne ancienne et contemporaine. Des choix littéraires voulus par cette ancienne responsable de la librairie Lamartine, dotée d’une maîtrise de lettres classiques, et toute son équipe. Sylviane Lagarde connaît bien la Réunion des musées nationaux, puisqu’elle était autrefois responsable des librairies des musées de Caen, Rouen, Lyon, Fontainebleau ou Villeneuve d’Ascq et dirige depuis juillet 1998 les espaces commerciaux du Grand Palais.
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De Lamartine à l’Egypte
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°506 du 1 mai 1999, avec le titre suivant : De Lamartine à l’Egypte