Critique de l’image quotidienne, Asger Jorn

Par Le Journal des Arts · Le Journal des Arts

Le 7 décembre 2001 - 146 mots

Cobra est à l’honneur cette année. Outre la publication récente de l’ouvrage de Willemijn Stokvis sur lequel nous reviendrons, la rétrospective de Constant à Antibes et celle d’Asger Jorn à Strasbourg, Laurent Gerverau livre avec Critique de l’image quotidienne un ouvrage passionnant sur ce dernier artiste.

Attaché aux engagements de Jorn, l’auteur d’Histoire du visuel au XXe siècle trouve là une occasion rêvée de raviver la flamme des avant-gardes des années 1950 – Lettrisme, Internationale Situationniste ou Collège de Pataphysique, mouvements auxquels le fondateur de Cobra a pris part. Tout au long de ces pages, il est donc autant question de peintures que de révoltes et de dérives dans l’espace, une façon de « nous inciter à refuser la facilité du cocooning, du clone de la robotisation en marche ».

Laurent Gervereau, Critique de l’image quotidienne, Asger Jorn, éditions du Cercle d’art, 224 p., 180 F

Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°138 du 7 décembre 2001, avec le titre suivant : Critique de l’image quotidienne, Asger Jorn

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