Paris. L’Office central de lutte contre le trafic des biens culturels a placé en garde à vue le 22 juin cinq figures du marché de l’art parisien soupçonnées d’avoir « blanchi » des objets archéologiques pillés en Égypte, Libye et Syrie.
L’expert Christophe Kunicki (mêlé en 2011 à une affaire de sarcophage pillé) et son compagnon Richard Semper ont été inculpés et laissés en liberté. Les trois autres suspects, le président de la maison de ventes Pierre Bergé & associés, une ancienne conservatrice du Louvre et le marchand David Ghezelbash sont sortis libres sans avoir été présentés à un juge D’instruction.
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Coup de filet dans le trafic d’objets archéologiques
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°549 du 3 juillet 2020, avec le titre suivant : Coup de filet dans le trafic d’objets archéologiques