La Cour de cassation a débouté le 13 novembre la photographe Bettina Rheims et a rendu définitive sa condamnation pour avoir utilisé dans l’un de ses clichés l’œuvre de l’artiste-plasticien allemand Jakob Gautel intitulée Paradis créée en 1990.
PARIS - En juin 2006, la cour d’appel de Paris avait jugé Bettina Rheims coupable de contrefaçon et l’avait condamnée à verser 30 000 euros de dommages et intérêts à l’artiste. Le mot Paradis gravé en lettres d’or au-dessus de la porte des toilettes de l’ancien dortoir des alcooliques de l’hôpital psychiatrique de Ville-Évrard, devenu un lieu de création contemporaine, a été reconnu comme une œuvre à part entière et se trouve donc protégée par le droit d’auteur.
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Bettina Rheims chassée du Paradis
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°292 du 28 novembre 2008, avec le titre suivant : Bettina Rheims chassée du Paradis