Antoine Amarger, 42 ans, a suivi les Bourgeois de Calais, chef-d’œuvre d’Auguste Rodin à l’Académie de France à Rome, là où le restaurateur de sculptures métalliques fut pensionnaire il y a dix ans. Sa connaissance de la matière, il l’a acquise à l’Ecole Boulle, car « le métal évoluant selon les températures, la main de l’homme se sent forte ». Son passage à l’IFROA (Institut français de Restauration des Œuvres d’Art) lui a enseigné la maîtrise scientifique. « La main et la tête, il est nécessaire de maîtriser les deux ». Reconnu et admiré, Antoine Amarger intervient auprès des plus grands musées français mais aussi étrangers (Montréal, Buenos Aires). Les Bourgeois de Calais sont attendus dans leur bonne ville de Calais début juillet.
Antoine Amarger, 25, avenue Reille, 75001 Paris, tél. 01 53 80 28 61.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Antoine Amarger rafraîchit les Bourgeois
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°527 du 1 juin 2001, avec le titre suivant : Antoine Amarger rafraîchit les Bourgeois