Paris. Derrière l’acronyme « Aglaé » se cache l’Accélérateur Grand Louvre d’analyse élémentaire.
Un accélérateur de particules de plus de 27 mètres de long qui permet d’identifier les éléments chimiques présents dans les couches superficielles d’un objet et d’en améliorer ainsi la connaissance. L’appareil, installé depuis 1988 au Centre national de recherche et de restauration des musées de France, vient d’être modernisé. « New Aglaé » est désormais en mesure d’analyser des matériaux fragiles, tels les pigments organo-minéraux des œuvres peintes. Seul appareil de ce type mis au service des œuvres d’art, il est très sollicité par les musées européens.
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Aglaé, l’accélérateur Grand Louvre, devient « New Aglaé »
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°490 du 1 décembre 2017, avec le titre suivant : Aglaé, l’accélérateur Grand Louvre, devient « New Aglaé »