À propos d’Henry Moore, le professeur :
« Il était très généreux. Tous les soirs, j’empruntais des livres d’art et les rapportais le lendemain, pour en reprendre d’autres [...]. Je n’avais jamais vu une seule sculpture africaine avant de rencontrer Henry Moore. J’ignorais tout du cubisme et du surréalisme. Cette ouverture sur notre siècle a beaucoup compté dans ma formation. »
À New York, la révélation de l’art américain :
« New York devenait une ville passionnante, le lieu où se créaient les nouvelles formes d’art. L’esthétique des expressionnistes abstraits ne ressemblait pas du tout à celle des artistes parisiens [...]. Quand j’ai trouvé mon style, il était américain, pas parisien. Les Américains ne voyaient pas la nécessité de s’appuyer sur l’histoire. Ils faisaient du neuf. »
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Témoignages de Anthony Caro
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°604 du 1 juillet 2008, avec le titre suivant : Témoignages de Anthony Caro