PARIS
Bien qu’il constitue l’un des champs les plus fertiles du graffiti, l’urbex, déployé dans les friches et lieux abandonnés, demeure peu documenté.
Dans la lignée des ouvrages de Katre sur le sujet [Hors du temps 1 et 2, aux éditions Pyramyd], Jonk s’attèle à présenter le phénomène dans un « coffee table book » richement illustré. L’artiste et photographe y propose une sélection internationale de vingt-six artistes, d’Alëxone au regretté Zoo Project, en passant par Borondo, Roa et YZ. En optant pour un classement alphabétique et des entrées uniquement biographiques, l’ouvrage s’inscrit dans la continuité de la plupart des beaux livres de street art. C’est à la fois sa force et sa faiblesse : s’il fait la part belle aux œuvres in situ,Wastelands ne permet pas vraiment d’entrer dans la spécificité et la complexité d’une pratique dont l’intérêt réside dans sa capacité exploratoire et sa manière de dialoguer avec l’architecture.
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Wastelands
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°720 du 1 février 2019, avec le titre suivant : Wastelands