Le 26 septembre 1940 à Port-Bou, à la frontière franco-espagnole, Walter Benjamin se suicide. Il meurt inconnu ou presque et ne connaîtra la gloire qu’à titre posthume. Les éditions Mengès publient le premier essai biographique consacré à cet intellectuel, écrivain, essayiste, ami de Brecht, Scholem et Arendt, devenu une véritable « icône pour plusieurs générations », et échappant « à toute classification », note l’auteur Tilla Rudel. L’ouvrage s’accompagne de nombreux documents photographiques.
Tilla Rudel, Walter Benjamin, l’ange assassiné, éditions Mengès (coll. Destins), Paris, 2005, 208 p., 25 euros (à paraître le 9 mars).
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Walter Benjamin, l’inclassable
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°231 du 17 février 2006, avec le titre suivant : Walter Benjamin, l’inclassable