Dictionnaire amoureux. Le dictionnaire amoureux, c’est-à-dire subjectif, se prête-t-il à une science – l’étude des vestiges humains – qui se confond avec son objet principal : la préhistoire ?
La réponse est positive pour qui veut une introduction à des techniques (l’ADN), des sites (Lascaux), des personnages réels (Ötzi) ou imaginaires (Rahan)… Le lecteur peut faire confiance à l’auteur qui maîtrise suffisamment le sujet (Anne Lehoërff est archéologie, enseignante et préside le Conseil national de la recherche archéologique) pour savoir le vulgariser tout en apportant une touche militante sur son métier, sur des faits de civilisation (l’esclavage), voire en exprimant de l’agacement (l’égyptologie, les pièces de monnaie). Mais en faisant télescoper science et histoire, sans ordre chronologique, on perd un peu le fil narratif qui permettrait de relier les 161 entrées. Une invitation à aller plus loin dans un domaine passionnant.
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Une introduction subjective et pratique à l’archéologie
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°580 du 7 janvier 2022, avec le titre suivant : Une introduction subjective et pratique à l’archéologie