Récit En 1899, l’ingénieur belge Gustave Verniory s’embarque pour le Chili, dans la région de l’Araucanie, pour participer à la construction du chemin de fer d’un pays enfin « pacifié ».
De la correspondance échangée pendant dix ans avec sa famille restée en Belgique, il écrira ses mémoires rédigées sous la forme d’un journal en 1935. L’ensemble de ses écrits, les deux volumes de Dix années en Araucanie, mais également le récit de son retour et ses notes ethnographiques sur les Indiens mapuches, sont publiés pour la première en français, illustrés par les collections inédites d’objets, de photographies et d’archives personnelles de l’auteur qui ont été offertes par les héritiers de Verniory au Musée du quai Branly. La publication est brillamment introduite par les deux chercheuses Angèle Martin et Paz Núñez-Regueiro. À lire comme une histoire d’aventure.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Un Belge raconte la colonisation du Chili
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Gustave Verniory, Dix années en Araucanie (1889-1899), Musée du quai Branly/CoLibris, 767 p., 37 €.
Cet article a été publié dans L'ŒIL n°670 du 1 juillet 2014, avec le titre suivant : Un Belge raconte la colonisation du Chili