Chu Teh-Chun (1920-2014), né en Chine dans une famille d’amateurs d’art, est un acteur important de la peinture gestuelle abstraite, en exil à Paris depuis 1955.
Un refuge qui lui permet de développer son « abstraction orageuse », une peinture nébuleuse qui s’inspire de la dynamique organique du vivant. Cet ouvrage bilingue et richement illustré de Matthieu Poirier, historien de l’art, entend dissiper les malentendus de la réception de l’œuvre d’un artiste à la personnalité réservée qui a rejeté par principe toute stratégie commerciale.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Peintre du geste
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°777 du 1 juillet 2024, avec le titre suivant : Peintre du geste