À l’appui de la très belle exposition « Rodin, la lumière de l’antique » présentée en Arles, le catalogue explore point par point une des sources de la modernité du sculpteur. À commencer par sa collection d’antiques qu’il réunit à la villa des Brillants à Meudon où il s’installe en 1893. Réalisée dans les dernières années de sa vie, elle constitue à la fois un répertoire de formes pour Rodin, sans toutefois l’avoir accompagné toute sa vie, et un souvenir de ses séjours en Italie. À cette lumière, mais en évitant tout anachronisme quant à la carrière de l’artiste, les auteurs abordent chapitre par chapitre sa production sculptée mais aussi graphique qui s’intensifie à la fin de sa vie. En fin de catalogue, un trop bref mais pertinent article ouvre la question du rôle de ses albums photographiques recensant les chefs-d’œuvre antiques dans son travail.
Sous la direction de Pascale Picard, Rodin, la lumière de l’Antique, éditions Gallimard/Musée départemental Arles antique, 400 p., 45 e.
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Pascale Picard (dir.), Rodin, la lumière de l'Antique
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°660 du 1 septembre 2013, avec le titre suivant : Pascale Picard (dir.), Rodin, la lumière de l'Antique