ENQUÊTE - Les œuvres présentées dans ce livre-musée destiné au grand public relèvent du choix des voleurs d’œuvres d’art.
Ceux-ci se sont montrés particulièrement généreux envers le lecteur qui peut admirer un large ensemble de chefs-d’œuvre qui lui sont souvent inconnus, et pour cause, aucun n’ayant été retrouvé. Tout est bon à voler, des sculptures antiques aux tags du XXIe siècle (!), en passant par les peintures surréalistes. Surréalistes, c’est le terme le plus approprié pour qualifier les circonstances de ces larcins qui révèlent, au-delà de la cupidité des cambrioleurs, l’extrême négligence des musées. Souhaitons qu’un second volume ne paraisse pas de sitôt.
Nathaniel Herzberg, Le Musée invisible, les chefs-d’œuvre volés, Toucan, 208 p., 39,90 €.
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Nathaniel Herzberg, Le Musée invisible, les chefs-d’œuvre volés
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°622 du 1 mars 2010, avec le titre suivant : Nathaniel Herzberg, <em>Le Musée invisible, les chefs-d’œuvre volés</em>