« La peinture réduite à elle-même : des couleurs sur une surface, l’absolu de la peinture et une peinture absolue.
» Cette magnifique phrase ouvre la méditation sur Mark Rothko par l’auteur iranien Youssef Ishaghpour, essayiste, philosophe, photographe et cinéaste. Son regard sur l’artiste américain est surtout de l’ordre du sensible, voire intuitif. Si son étude se révèle souvent originale, on reste moins convaincu quand Ishaghpour aborde des pans de l’histoire de l’art déjà bien connus.
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Mark Rothko à fleur de peau
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°771 du 1 janvier 2024, avec le titre suivant : Mark Rothko à fleur de peau