PEINTURE. Dans ses Vies, Giorgio Vasari raconte que Cimabue essaya un jour de chasser une mouche sur le nez d’un personnage peint par Giotto, tant la vie semblait être insufflée à la surface de ses fresques. Dans la réédition d’un texte de 1985, l’essayiste Marcelin Pleynet revient sur la révolution introduite par l’artiste à la charnière des XIIe et XIIIe siècles, arrachant l’art pictural à sa bidimensionnalité byzantine et ouvrant la voie à l’invention de la perspective, à la vie. À l’occasion de l’exposition « Autour de Giotto » au Louvre, cet ouvrage offre une synthèse simple mais limpide, et abondamment illustrée, de l’œuvre du maître.
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Marcelin Pleynet - « Giotto »
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Abonnez-vous dès 1 €Marcelin Pleynet, « Giotto », Hazan, 176 p., 16 euros
Cet article a été publié dans L'ŒIL n°658 du 1 juin 2013, avec le titre suivant : Marcelin Pleynet - « Giotto »