Beau livre. L’ancien directeur du musée de l’Institut du monde arabe (IMA) brosse le portrait d’une cinquantaine d’artistes vivants ou décédés de la scène artistique arabe.
Ce n’est ni une anthologie, encore moins une encyclopédie, mais bien un regard très personnel sur des artistes que l’auteur a bien connus, voire exposés à l’IMA. Chaque chapitre brosse le portrait d’un artiste, introduit par une grande photographie de ce dernier. Figurent ainsi Etel Adnan, Ghada Amer, Kader Attia et Mounir Fatmi (mais pas Zineb Sedira). Brahim Alaoui ne cache pas la visée principale de l’ouvrage : mettre en valeur son auteur brutalement et injustement remercié de l’IMA en 2007. Son regard subjectif n’en est pas moins une utile source pour qui veut mieux comprendre cette scène au moment où l’IMA a annoncé une refonte de son musée riche de la collection d’art moderne et contemporain Claude Lemand.
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Le regard de Brahim Alaoui sur les artistes arabes
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Abonnez-vous dès 1 €Regard sur les artistes modernes et contemporains arabes, Skira, 2022, 375 pages, 49 €.
Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°606 du 3 mars 2023, avec le titre suivant : Le regard de Brahim Alaoui sur les artistes arabes