Dans cette émission « D’allons-y voir » animée par Patrick Boucheron, on s’interroge sur « Les Nymphéas » de Claude Monet, à travers le livre de Grégoire Bouillier Le Syndrome de l’Orangerie.
Devant cette œuvre monumentale, le visiteur lambda s’évade, flâne, se laisse bercer au fil de l’eau. Mais pour l’écrivain, c’est le contraire. Il en est sûr, quelque chose de grave se cache dans ces reflets troubles et presque abstraits : « Tout le monde est clafi de plein de mots tels que “chef-d’œuvre”, “impressionnisme”, “ode à la nature”, “paix intérieure”… Mais moi, j’ai eu un sentiment de malaise, d’angoisse. J’ai trouvé qu’il y avait quelque chose de morbide, de délétère. » Même impression de la part de l’historienne de l’art Laurence Bertrand Dorléac... Quel mystère « Les Nymphéas » cachent-ils ? Ce podcast mène l’enquête, et contextualise les événements survenus dans la vie de Claude Monet (1840-1926), et les raisons de son obsession pour les nénuphars, qui s’avèrent être une allégorie macabre. Une écoute qui donne envie de retourner au Musée de l’Orangerie pour regarder cette œuvre d’un autre œil.
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Le mystère macabre des « Nymphéas »
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°782 du 1 janvier 2025, avec le titre suivant : Le mystère macabre des « Nymphéas »