Centenaire - Lorsque la Première Guerre mondiale éclate, George Desvallières, réserviste de 53 ans, décide de s’engager dans le conflit ; il se battra ensuite pendant quatre ans comme chasseur alpin dans les Vosges.
Artiste reconnu et influent, pétri de christianisme, il porte sur ce cataclysme un regard profondément religieux. S’il ne peint pas de 1914 à 1918, il participe, après la fin des combats, à refonder l’art sacré et irrigue l’entre-deux-guerres d’œuvres évoquant l’horreur et le sacrifice de ce conflit avec une forte résonance christique. À quelques mois d’intervalle, sa petite-fille, Catherine Ambroselli de Bayser, édite deux ouvrages incontournables sur la vie de son aïeul pendant la Grande Guerre : un journal de bord, illustré de photographies et d’œuvres de l’artiste et sa correspondance très fournie avec ses proches, qui apporte un témoignage intime et saisissant sur le quotidien d’une famille, séparée par la guerre.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
George Desvallières dans l’enfer 14-18
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Catherine Ambroselli de Bayser, George Desvallières et la Grande Guerre, Somogy éditions d’Art, 184 p., 38 € ; et George Desvallières Correspondance 1914-1918, Somogy, 592 p., 49 €.
Cet article a été publié dans L'ŒIL n°665 du 1 février 2014, avec le titre suivant : George Desvallières dans l’enfer 14-18