« Je reconnais les paysannes d’Alexis Vettoretti. Elles m’ont précédée à bâbord et à tribord, j’en descends ; leurs vies sont celles que je n’ai pas eues, celles que j’eusse vécues si j’étais née avant 1940, avant la révolution mécanique qui, après la Seconde Guerre mondiale, détourna les filles de paysans de leurs destinées ataviques », écrit Marie-Hélène Lafon dans son texte d’accompagnement des portraits d’Alexis Vettoretti de paysannes dans leur cuisine, figures d’une époque qui disparaît et dont témoignent encore leur environnement et les façades de leurs fermes.
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Femmes rurales
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°782 du 1 janvier 2025, avec le titre suivant : Femmes rurales