PARIS [28.03.12] – Dans un entretien exclusif à paraître demain jeudi dans LeJournaldesArts.fr et vendredi (jeudi pour les abonnés) dans « Le Journal des Arts », Marin Karmitz, l’ex-délégué général du Conseil de la création artistique commente les nombreuses attaques que le Conseil a subies depuis sa création en 2009. Il justifie aussi son bilan. PAR JEAN-CHRISTOPHE CASTELAIN
Créé en janvier 2009 par le président Nicolas Sarkozy, le Conseil pour la création artistique dirigé par le cinéaste, producteur et exploitant de salles de cinéma Marin Karmitz, a très vite été l’objet d’un tir croisé venant de tous côtés.
Perçu par certains comme un ministère bis de la Culture, il a subi les foudres de l’appareil même du ministère ainsi que de nombreux journalistes, comme en témoigne Marin Karmitz dans cet entretien. Arrivé Rue de Valois, Frédéric Mitterrand s’est soigneusement attaché à circonvenir l’action du Conseil, on se souvient de son fameux « DRAC in partibus ».
Marin Karmitz s’en explique dans l’entretien : « J’ai été accusé d’être un traître, de travailler pour Sarkozy etc alors que j’ai eu et j’ai toujours le sentiment que j’ai travaillé pour l’État français par rapport à des idées qui me tiennent à cœur dans le cadre et dans le contexte de ma propre histoire. »
De nombreux projets ont été menés tout au long de l’année 2010, dans un anonymat relatif. Il en reste un audit complet qui peut servir de repères à tous les organisateurs de projets transversaux, l’un des fers de lance d’une initiative qui se voulait une boite à outils.
Le Conseil a été dissous en avril 2011.
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Marin Karmitz rompt le silence demain jeudi dans « Le Journal des Arts »
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Abonnez-vous dès 1 €Marin Karmitz - 2010 - © Benoît Linero pour L'oeil