Internet serait-il l’avenir des marchands d’art primitifs ? Vraisemblablement.
« Le métier a complètement évolué. Les gens qui travaillent seize heures par jour n’ont pas le temps d’aller en galerie, souligne le marchand Joaquin Pecci (Bruxelles). Il faut aller chercher les clients là où ils sont, c’est-à-dire dans leurs bureaux. « Celui-ci a rallié une quinzaine de marchands internationaux tels Alain Bovis, Kevin Conru (Bruxelles) ou Jacques Germain (Montréal) pour lancer le 1er juin un site Internet baptisé « Tribal Art Society » . Celui-ci proposera au début de chaque mois une sélection de soixante objets expertisés par un comité composé de Joaquin Pecci ou Didier Claes (Bruxelles) et des Parisiens Olivier Castellano et Jean-Edouard Carlier. « Dans ce métier, il y a beaucoup d’aventuriers qui nous pénalisent et c’est pour cela qu’on veut être irréprochables, insiste Joaquin Pecci. Si l’objet ne convient pas à l’acheteur, il peut le retourner dans un délai de sept jours. »
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Un nouveau site Internet au service des marchands
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°348 du 27 mai 2011, avec le titre suivant : Un nouveau site Internet au service des marchands