PARIS
Lorsque l’on s’appelle Parcours des mondes, on se doit de proposer un véritable tour du monde de l’art non pas en 80 jours mais en 80 minutes. L’adjonction de l’archéologie est une évidence, car c’est de cette époque que tout est parti. Aujourd’hui, les pièces cycladiques sont recherchées pour leur abstraction minimaliste, les sculptures grecques ou romaines pour leur beauté parfaite. Cela prouve que pour trouver les origines de nos arts, il faut faire un retour en arrière de cent à plusieurs milliers d’années. Et ça les collectionneurs l’ont compris.
La sélection faite par les marchands permet à chacun d’acquérir l’objet de ses rêves et de compléter sa collection dans d’excellentes conditions. Contrairement à ce que l’on pense, le collectionneur n’est pas toujours monomaniaque et fait la traversée esthétique d’un continent à l’autre ou d’un pays à l’autre. Ce que recherchent les vrais amateurs, c’est ce lien universel entre création et beauté, et ce lien, ils le trouveront en flânant au Parcours des mondes.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Questions à… Pierre Moos, directeur du salon parcours des mondes
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°726 du 1 septembre 2019, avec le titre suivant : Questions à… Pierre Moos, directeur du salon parcours des mondes