Pourquoi vous êtes-vous installé à Paris ?
Paris est le point de rencontre pas seulement des institutions et collectionneurs français, mais aussi des collectionneurs étrangers. Par ailleurs, je participe depuis l’an 2000 avec beaucoup de satisfaction à la Fiac, qui a beaucoup changé en dix ans.
Quel bilan tirez-vous de presque un an de présence ?
Le bilan est jusqu’à présent très positif. Je ne suis pas venu avec des expositions low profile pour toucher large. J’ai suivi mon instinct et monté des événements importants comme les expositions Fontana et Alighiero e Boetti. Mon intention est d’ajouter quelque chose au panorama parisien déjà très riche. J’ai vendu à une clientèle internationale. Des Américains se sont déplacés volontiers à Paris et m’ont acheté des pièces de Boetti. Je vais continuer à montrer deux expositions monographiques d’artistes italiens par an. Le public parisien est habitué à des choses de haut niveau. Ça ne suffit pas de marquer le coup uniquement pour l’inauguration de la galerie et après ne penser qu’en terme de marché.
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Questions à… Michele Casamonti
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°625 du 1 juin 2010, avec le titre suivant : Questions à… Michele Casamonti