Programmation particulièrement fournie pour la dixième édition de PhotoSaintGermain. Dans le cadre du prix William Klein qui lui a été décerné au printemps dernier, Annie Leibovitz revient sur son parcours au Pavillon Comtesse de Caen, tandis qu’au Musée Delacroix, les photographies, sculptures et installations de Noémie Goudal dialoguent avec le nouvel accrochage du lieu sur la question du décor.
La Maison d’Auguste Comte retrace l’histoire de la photographie spirite des années 1850-1950 à travers des images de phénomènes occultes. Le focus sur des photographies inédites de Joseph Dadoune proposé par les galeries Alain Le Gaillard et Le Minotaure éclaire, de son côté, le projet multimédia de l’artiste franco-israélien, où l’on voit l’actrice Ronit Elkabetz, en costume signé Christian Lacroix, errant au Musée du Louvre à la recherche d’objets bibliques témoins des civilisations aujourd’hui disparues de Jérusalem. Luigi Ghirri à l’Institut culturel italien, Éric Antoine à la Galerie Berthet-Aittouarès, Erwan Venn à la Galerie Georges-Philippe & Nathalie Vallois ou Marguerite Bornhauser à la Galerie Madé découvrent d’autres inédits, les galeries de l’Institut et l’Arenthon révélant des photographies de Picasso par Jacqueline Picasso. D’autres propositions aussi solides jalonnent le parcours de PhotoSaintGermain qui, pour la première fois, s’étend rive droite avec une sélection resserrée de l’Institut culturel suisse et des galeries Baudoin Lebon, Binome, Bigaignon, Christophe Gaillard et Galerie C.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
PhotoSaintGermain, une dixième édition solide
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°748 du 1 novembre 2021, avec le titre suivant : PhotoSaintGermain, une dixième édition solide
