Pour fêter ses 40 ans, l’Atelier d’Art Lepic programme une rétrospective de l’œuvre gravée d’Henri Landier, organisée par thèmes : Venise, le Buto, les écorchés… Peintre aux couleurs éclatantes, Landier, qui à 17 ans quitte sa famille pour devenir artiste, commence son œuvre à la fin des années 1950 par des gravures très sombres, dites « de ténèbres », où les rues de Montmartre surgissent des entrelacs de la pointe sèche utilisée par l’artiste comme un crayon. Son dessin va peu à peu évoluer vers plus de lisibilité, et les gravures vers la couleur, l’artiste privilégiant ces dernières années l’aquatinte. Éditions de 50 à 70 tirées par l’artiste, les gravures vont de 100 euros pour les petits formats, à 1 000 euros pour les plus grands, Le Docker de Dunkerque (1958), qui avait tant fasciné l’ami Mac Orlan, étant à 700 euros seulement.
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Henri Landier - en galerie
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Abonnez-vous dès 1 €Galerie d’Art Lepic, 1, rue Tourlaque, Paris-18e, www.artlepic.org
Cet article a été publié dans L'ŒIL n°685 du 1 décembre 2015, avec le titre suivant : Henri Landier - en galerie