Trente-six faux César ont été saisis par les gendarmes de la section de recherche de Marseille dans une galerie parisienne le 20 novembre.
Le marchand a été contraint de remettre les pièces à la justice, après les avoir récupérées auprès de clients et avoir remboursé ces derniers. Les faux étaient estampillés du tampon des Beaux-Arts de César et possédaient des numéros d’archives. Le préjudice a été évalué à plusieurs dizaines de millions de francs, certaines pièces ayant été vendues jusqu’à 600 000 francs. Début septembre, trois individus soupçonnés d’avoir fabriqué et vendu des centaines de faux avaient été mis en examen, après une première saisie de deux cents faux, en majorité des contrefaçons du sculpteur.
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Faux César
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°138 du 7 décembre 2001, avec le titre suivant : Faux César