Les 15 et 16 juin, Me Briest diperse à Paris la collection d’un amateur éclairé, industriel de son état devenu à la fin de sa vie marchand d’art moderne et post-impressionniste. Henri Bronne fut le patron de la société Silvatrim qui fabriquait les enjoliveurs de la plupart des voitures des années 70. Riche, il achète les grands noms du surréalisme, de l’Ecole de Paris et de quelques Nouveaux Réalistes comme Niki
de Saint-Phalle ou César. Le produit de la vente est estimée entre 25 et 28 millions de francs. Un point fort pour Drouot en cette fin de saison.
Exposés à Drouot-Montaigne, 13-15 juin.
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Bronne, roi des enjoliveurs
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°497 du 1 juin 1998, avec le titre suivant : Bronne, roi des enjoliveurs