TURIN (ITALIE) [09.03.09] – Estimant que les vidéos d’Adel Abdessemed ne présentaient rien d’illégal, la justice italienne a autorisé l’ouverture de l’exposition de l’artiste à la Fondazione Sandretto Re Rebaudengo.
La justice italienne n’a pas constaté d’éléments criminels dans les oeuvres d’Adel Abdessemed présentées dans le cadre d’une exposition qui aurait dû commencer le 12 février à la Fondazione Sandretto Re Rebaudengo, à Turin. Malgré l’opposition des militants écologiques et des autorités locales à propos des scènes d’abattages et des combats d’animaux montrés dans les images de cet artiste franco-algérien, l’exposition a accueilli ses premiers visiteurs le 5 mars.
« Le seul but des oeuvres d’Abdessemed est de condamner la violence dans toutes ses formes », a expliqué un porte-parole du musée. La Fondazione Sandretto Re Rebaudengo a néanmoins pris quelques précautions : des avertissements sur le contenu des images ont été placés à l’entrée de l’exposition et plusieurs médiateurs culturels sont à la disposition du public pour ceux qui ont le besoin d’interroger le contenu des images.
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L’exposition controversée d’Adel Abdessemed ouvre finalement ses portes
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