ARLES - Incontestablement la scène anglo-saxonne, surtout américaine, domine la 46e édition des Rencontres de la photographie à Arles, édition signée Sam Stourdzé, son nouveau directeur.
Travail imprimé de Walker Evans, rétrospective « Stephen Shore », archives des architectes Robert Venturi et Scott Brown sur Las Vegas, enseignes lumineuses de Toon Michiels ou jeux de rôle de John Malkovich pour Sandro Miller : les œuvres se déclinent en mode majeur tandis que la Fondation Luma explore les relations qu’entretient l’artiste Tony Oursler avec ses archives, des milliers de documents et objets collectés depuis les années 1990.
Si la collecte n’est pas la collection, cette dernière forme un autre axe important de ces Rencontres et du programme associé. Collections de Wouter Deruytter autour de la figure du sphinx, de The LP Company en lien avec la musique underground ou de la Maison européenne de la photographie (Paris) : chacune développe ses partis pris et singularités. Le visiteur cheminera aussi parmi les dernières acquisition du Conservatoire du littoral ou la collection photo du Musée Réattu. Le prix Découverte récompense quant à lui des travaux de la scène contemporaine, le Congo d’Alex Majoli et Paolo Pellegrin et le tourisme de désolation d’Ambroise Tézenas
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Les Rencontres d’Arles au diapason
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Abonnez-vous dès 1 €Les Rencontres de la photographie à Arles, 22 lieux d’exposition, www.rencontres-arles.com Du 6 juillet au 20 septembre.
Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°439 du 3 juillet 2015, avec le titre suivant : Les Rencontres d’Arles au diapason