Les belles histoires qui se terminent bien font toujours rêver. En voici vingt-cinq qui racontent, sous une forme brève, comment des particuliers possédaient sans le savoir un tableau de maître ou un objet rare et qui, par la perspicacité d’un commissaire-priseur (très à l’honneur dans l’ouvrage), se sont retrouvés à la tête d’une petite fortune. Vingt-cinq récits qui sont autant de portraits d’objets et d’histoires humaines, sur un ton enlevé et dénué de prétention.
Philippe Colin-Olivier, Laurence Mouillefarine, Vous êtes riche sans le savoir, éd. Le Passage, 256 p., 18 €.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Vive les commissaires-priseurs
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Titien, au-delà de la monographie
Klimt monumental
Le temps suspendu d’Hopper
L’art en temps de guerre
Le Louvre à portée de main
Grünewald, alchimiste de la couleur
Michael Barry - « Suggérer la cohérence picturale »
Renoir, portrait sensible
Trois questions à Gilles Bourdos, réalisateur
L’art sur un plateau
Les fréquences de la culture
Monuments dessinés
La vie de bohème (suite)
Le Louvre vu par Bilal
Habiter à Pompéi
Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°381 du 14 décembre 2012, avec le titre suivant : Vive les commissaires-priseurs