LONDRES / ROYAUME-UNI
Avec l’inauguration de son nouvel espace, la Tate Modern de Londres lance sa première commande d’œuvre monumentale : une sculpture de Louise Bourgeois constituée de quatre pièces de bronze et d’acier.
Financée par la société Unilever, deuxième entreprise mondiale de grande consommation, Sell est la première d’une série de cinq œuvres du programme des Unilever Series. « Nous sommes heureux qu’une artiste d’une telle réputation internationale ait accepté le défi représenté par le Turbine Hall de la Tate Modern, qui s’annonce comme le nouveau grand espace de l’art moderne », confie Nicholas Serota, directeur de la Tate Gallery. Avec un mécénat de 1,25 millions de livres par an, Nial Fitzgerald, président d’Unilever, peut être fier de ses actions internationales. Il soutient également le Guggenheim Museum de Bilbao (à hauteur de 360 000 dollars jusqu’en 2002) et certains grands musées new-yorkais car « créativité, innovation et dynamisme » rapprochent avant tout son entreprise des nouveaux musées.
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Unilever mécène
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°516 du 1 mai 2000, avec le titre suivant : Unilever mécène