BREGENZ - La Britannique Rachel Whiteread remplit les vides pour souligner l’absence et rétablir la mémoire. À la Kunsthaus de Bregenz, son exposition « Walls, Doors, Floors and Stairs » convoque pour les exorciser les fantômes d’un passé totalitaire. Des éléments de mobilier, des escaliers, des sols ou même des pièces entières, comme le bureau dont George Orwell s’inspira pour écrire 1984, sont transcrits dans le vocabulaire sculptural, minimaliste et compact de l’artiste…
Karl Tizian Platz, Bregenz, Autriche, tél. 43 5574 48594-0, www.kunsthaus-bregenz.at. Jusqu’au 29 mai.
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Rachel Whiteread fait le mur
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°213 du 15 avril 2005, avec le titre suivant : Rachel Whiteread fait le mur