NICE - C’est sous le titre paradoxal de « L’Institut des archives sauvages » qu’ont été réunis au centre d’art de la Villa Arson, à Nice, les systèmes d’archivage propres à une trentaine d’artistes, des échantillons de cendre de Silvie & Chérif Defraoui au bureau A Fax Transmission from : Oct. 21 de Mike Kelley.
Mais la définition s’étend aussi aux modules d’attente de Tatiana Trouvé ou de Julien Prévieux (Have a Rest), sans oublier le beau sol en briques de plastique recyclé de Dan Peterman.
« L’Institut des archives sauvages », Villa Arson, 20, av. Stephen-Liégeard, 06100 Nice, tél. 04 92 07 73 73. Jusqu’au 28 mai.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Des pratiques artistiques de l’archive
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°364 du 2 mars 2012, avec le titre suivant : Des pratiques artistiques de l’archive