GRENOBLE - Les cheveux de la momie de Ramsès II, mis en vente sur Internet en novembre 2006 (lire le JdA no 249, 15 décembre 2006, p. 5), puis remis par la police à l’Office central des biens culturels à Paris, n’ont toujours pas fait l’objet d’une demande de restitution de la part de l’Égypte. La France s’était pourtant engagée à rendre les reliques. Le vice-procureur du parquet de Grenoble, Luc Fontaine, estime que l’affaire sera probablement classée sans suite.
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Une affaire tirée par les cheveux
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°251 du 19 janvier 2007, avec le titre suivant : Une affaire tirée par les cheveux