PARIS - Le 16 octobre 2014, la mairie de Paris et LVMH ont obtenu un sursis à exécution de la décision de justice du 13 mai (voir JdA n° 414 du 23 mai 2014) qui annulait le permis de construire de la nouvelle Samaritaine, au motif que ce dernier ne respectait pas les injonctions du PLU parisien. La démolition des bâtiments de l’îlot de la rue de Rivoli, effectué au 4/5e, peut désormais reprendre en attendant l’examen du dossier au fond le 5 décembre devant une formation plénière. Une formation exceptionnelle qui « prouve que la cour administrative d’appel a pris la mesure de la décision qu’elle doit rendre qui, quelle qu’elle soit, marquera un précédent historique dans l’évolution de l’urbanisme parisien », déclare Julien Lacaze, vice-président de la Société protectrice des paysages et de l’esthétique de la France (SPPEF) qui avait obtenu en mai l’arrêt du chantier.
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Samaritaine : le chantier peut reprendre
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°422 du 31 octobre 2014, avec le titre suivant : Samaritaine : le chantier peut reprendre