TOURS - Né en 1939, Klaus Rinke a marqué les années 1970 par ses performances minimales, ses gestes élémentaires aptes à matérialiser des notions abstraites comme le temps, l’espace et la gravitation.
Fondées sur des notions d’énergie et de flux, ses sculptures ont ainsi intégré l’eau comme médium essentiel, tandis que l’horloge figure en bonne place dans son vocabulaire. Baptisée « Plutonium », l’exposition que lui consacre actuellement le Centre de création contemporaine (CCC) de Tours revient sur les productions anciennes de l’artiste, notamment avec la présentation de l’installation photographique Disparaître dans le médium (1972), tout en privilégiant avec de grands dessins au graphite réalisés en 2002 le versant sombre de son œuvre.
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Rinke au noir
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°183 du 19 décembre 2003, avec le titre suivant : Rinke au noir