NÎMES - Malgré les réserves suscitées par le projet (lire le JdA n° 102, 31 mars), la Direction de l’Architecture et du Patrimoine a autorisé la mise en lumière du Pont du Gard par l’artiste américain James Turrell, à une exception près.
L’éclairage de l’aqueduc a été refusé, car il aurait nécessité l’installation d’une câblerie trop importante dans un boyau que l’on voudrait ouvrir à la visite. En revanche, elle n’a vu aucune objection à l’illumination des arches, préconisant une solution duale. Sur le tablier principal, les projecteurs seront encastrés, tandis que, sur le petit tablier, qui supporte les 27 arches du troisième niveau, câbles et spots seront accrochés grâce à un système de chevilles. Celles-ci seront fixées dans les joints, avec, à terme, des risques d’infiltration. Prévue début juin, l’inauguration de cette installation pourrait cependant être retardée.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Pont du Gard : la lumière sera
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°105 du 12 mai 2000, avec le titre suivant : Pont du Gard : la lumière sera