Son grand-père Joseph, né à Constantinople, ouvre sa galerie parisienne en 1945. Son père Jean, lui aussi expert en art islamique, est l’auteur du livre de référence sur le sujet. À sa mort, sa fille Laure Soustiel s’installe dans la galerie familiale du 146, boulevard Haussmann à Paris en association avec Marie-Christine David. « L’art islamique me fait naviguer dans un univers spatial allant de l’Inde à l’Espagne, du XVIIe siècle au XXe siècle », raconte Laure Soustiel, commissaire scientifique de l’exposition « Splendeurs de la céramique ottomane » montrée l’année dernière au Musée Jacquemart-André. Aujourd’hui, elle travaille davantage pour les commissaires-priseurs. Elle prépare pour le 20 novembre la vente d’objets islamiques de l’étude Gros & Delettrez avant celle du 14 décembre chez Me Francis de Ricqlès car elle aime « redonner une âme à un objet qui peut paraître anodin, en rechercher son histoire et le faire vivre ».
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L’Orient de Laure Soustiel
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°521 du 1 novembre 2000, avec le titre suivant : L’Orient de Laure Soustiel