Serge Laurent, c’est le sang neuf de la maison. Il est jeune. Il vit en totale symbiose avec sa génération et ses nouveautés. Le « Monsieur Soirées Nomades » (1994-1998) de la Fondation Cartier a également sorti l’art vivant – théâtre, musique, danse et autres performances – hors des murs parisiens pour le transporter au festival Nouvelles Scènes de Dijon (depuis 1996), ou dans les rues du Printemps de Cahors. Pluridisciplinarité et rencontres tout en croisements sont donc les inclinations de ce tout nouveau responsable des Spectacles vivants du Centre Pompidou. En collaboration avec d’autres départements (arts visuels, design, créations musicales et chorégraphiques de l’Ircam) et en incluant maintenant la mode, cet ancien élève de l’École du Louvre va faire se succéder les spectacles au travers de « convergences entre artistes de la scène et plasticiens, chorégraphes et compositeurs » mais aussi poésie et littérature. C’est une programmation riche, financée par Le Printemps, qui débute le mois prochain avec « Les Soirées de l’improvisation ».
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Les jours et les nuits de Serge Laurent
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°512 du 1 décembre 1999, avec le titre suivant : Les jours et les nuits de Serge Laurent